Dans l’édition du 22 juin 2021, l‘article de Delphine Iweins « Lutte anti-corruption : la bataille de la certification se prépare » insiste sur le rôle de certification ISO 37001 pour attester dans la durée de la maturité d’un programme de lutte contre la corruption. Céleste Cornu, cofondatrice d’EuroCompliance, y rappelle notamment le rôle des parties intéressées : « Aujourd’hui, les entreprises sont sollicitées par un nombre grandissant de parties en matière de lutte contre la corruption : les autorités administratives et judiciaires, les clients, les partenaires, les institutions financières internationales, l’assurance-expert, les banques, les investisseurs ou encore dans le cadre de projets de fusion-acquisition. » Charles Duchaine le président de l’Agence Française Anticorruption confirme que l’autorité voit « la certification d’un bon œil et est sensible à la démarche. C’est un a priori favorable » – sans bien sur que cela protège de contrôles éventuels.